décèdent d'un cancer en France, soit 20 classes d'écoles. Ce chiffre ne recule quasiment plus depuis 20 ans. Sur les dernières décennies, seuls les cancers pédiatriques répondant aux « traitements pour adultes » ont vu leur chance de guérison s’améliorer.
des enfants par maladie. Les leucémies, les tumeurs cérébrales et les sarcomes prédominent nettement.
Pour plusieurs cancers pédiatriques, notamment les tumeurs du tronc cérébral, les traitements se résument souvent à des soins palliatifs.
Le nombre de cancers de l'enfant augmenterait de 1 à 3% chaque année, selon plusieurs études européennes. Un enfant sur 400 sera touché par un cancer avant sa majorité.
à la recherche sur les cancers pédiatriques, pendant des décennies. Eva pour la vie est la 1ère association française à s'être investie auprès des pouvoirs publics pour obtenir un fonds public dédié à la recherche sur les cancers pédiatriques. Fin 2018, 5 millions d'euros par an ont été alloués par le gouvernement. En 2022, grâce à l'amendement de Béatrice Descamps, 20 millions de plus seront alloués à la recherche sur les cancers pédiatriques, en plus des moyens existants.
La recherche industrielle est essentiellement axée sur les cancers des adultes, pour des raisons de rentabilité. Or, les tumeurs malignes détectées chez les enfants sont souvent différentes de celles des adultes et ne peuvent se soigner de la même manière.
est très faible pour les enfants atteints de cancers. Pourtant, la prévention permet, chez l’adulte, de réduire fortement le nombre de cancers. Diminuer le nombre d'enfants diagnostiqués est essentiel.
sont souvent classés « cancérogènes probables » voire « cancérogènes certains ». Pourtant, on peut les trouver en quantités importantes dans l'environnement ou l'alimentation de l'enfant.
Une femme qui perd son mari est une veuve ; un homme qui perd sa femme est un veuf ; un enfant qui perd ses parents est un orphelin ; aucun mot n'existe pour un parent qui perd son enfant.