Martedì 4 febbraio 2014, il presidente Francois Hollande ha svelato il « piano cancro » francese valabile per 2014-2019. E’ con grande rammarico che constatiamo l’assenza di misure riguardanti la ricerca sul cancro pediatrico – prima causa di mortalità dei bambini che decedono a causa di una malattia, in Francia -  malgrado le richieste ripetute da parte della nostra associazione, da associazioni amiche, da diversi genitori e da figure politiche.
Le président a initié son discours par une phrase encourageante : "la lutte contre le cancer doit aller au-delà des clivages politiques". Il a ensuite insisté sur « l'importance de la lutte contre les inégalités face au cancer ». Â
François Hollande a brièvement parlé , durant son discours, des enfants en évoquant des mesures pour ceux qui « s’en sortent » : la scolarité et l’après-cancer . Il a totalement ignoré les 500 enfants qui décèdent d’un cancer chaque année en France, et l’urgence de financer une recherche dédiée.
Effectivement, la lutte contre le cancer de l’enfant n’est ni de droite, ni de gauche. Pourtant :
- Le député Jean-Christophe Lagarde a déposé, en juin 2013, une proposition de loi ambitieuse, ouverte à lÂ’ensemble des partis politiques, concernant le financement de la recherche sur les cancers pédiatriques. Le principe : instaurer une contribution minime (de 0,1%) – non répercutée sur le consommateur - sur le C.A des laboratoires pharmaceutiques qui permettrait de dédier un fonds annuel de 45M€ pour la recherche sur les cancers pédiatriques ! Cette proposition a été co-signée par plus de 120 députés. Aucun socialiste.Â
La raison invoquée – par écrit - par de nombreux députés PS, dont les noms de certains sont connus : « nous ne pouvons pas co-signer de proposition de loi n’émanant pas de notre parti, car notre règlement interne nous l’INTERDIT ». Pourtant, dans le passé, des députés PS avaient su rejoindre des élus UMP sur d’autres propositions, comme par exemple, en 2011, une proposition de loi relative à la maltraitance animale.
Quelques rappels :